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Quelles princesses Disney réussissent le test de Bechdel ?

Des personnages trop stéréotypés ?

Test de Bechdel Disney

Walt Disney est connu pour avoir eu, à travers ses très nombreux films, une forte influence sur l’image de la femme dans la société. La grande majorité de nos enfants ont grandi avec ces modèles et ont intégré une partie des codes et des jugements sous-jacents.

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Qu'est-ce que le test de Bechdel ?

De la princesse passive qui attend son prince charmant, à la femme rebelle qui veut prendre son propre destin en main, les œuvres de Disney ont largement suivi et accompagné l’évolution des mœurs. Néanmoins, certains estiment qu’encore aujourd’hui, les avancées de ces dessins animés sont très relatives et encore chargées de nombreux stéréotypes. Afin d’apporter un éclairage à cette question, nous avons décidé de soumettre, pour la première fois, l’ensemble des films de Walt Disney, anciens et nouveaux, au filtre du très connu test de Bechdel.

Test de Bechdel : définition

Test de Bechdel : la règleLe test de Bechdel est né dans une case de bande dessinée (« La règle »), dans la bouche d’un personnage qui déclarait n’accepter de voir les films au cinéma que s’ils répondent à trois critères simples :
– Qu’au moins deux personnages féminins soient nommés
– Qu’il y ait au moins une conversation entre ces deux personnages
– Que cette conversation parle d’autre chose que des hommes.

Ce test ne donne naturellement pas un diplôme de non-sexisme puisque quelques secondes peuvent suffire pour le réussir. Néanmoins, de tels critères nous informent sur le fait que l’histoire n’est pas uniquement incarnée par des hommes et que les personnages féminins peuvent, au moins occasionnellement, parler d’autre chose que du fait de se trouver un homme. Bien que minimaux, ces critères sont en effet une bonne base de réflexion pour qui veut s’interroger sur la place des femmes au cinéma.

Nous ne sommes pas les premiers à envisager de faire passer le test de Bechdel aux princesses Disney, mais, par le passé, les publications connues sur le sujet ont trop souvent fait preuve de beaucoup de complaisance dans l’interprétation des règles. Fans de Disney que nous sommes, nous souhaitons donc aujourd’hui faire passer ce test à l’ensemble des grands classiques, et ce de manière stricte. Ainsi, un personnage qui s’appelle « La reine » ne peut plus être considéré comme un personnage nommé. Sans un véritable nom ou prénom, le personnage est un simple archétype clairement désincarné, dans lequel le spectateur ne s’identifiera jamais.

Le test de Bechdel chez DisneyConcernant la seconde règle, ce sont bien deux personnages nommés qui doivent discuter entre eux et non deux personnages féminins quelconques. Enfin, concernant la dernière règle, on ne peut pas parler de conversation s’il n’y a échange que de deux mots. De plus, si les personnages parlent d’un sujet tiers dont l’objectif sous-jacent est bien relatif à un homme, cela ne sera pas accepté ! N’oubliez pas que derrière les règles du test de Bechdel, il y a un état d’esprit. S’il est nécessaire de discuter de petits points de détail pour décider si un film passe réellement ou non le test, c’est qu’il ne le passe pas. Quand un film laisse une place aux personnages féminins, cela se voit clairement, et il n’est pas nécessaire de pinailler pour le démontrer.

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Tous les grands classiques de Disney enfin soumis au test de Bechdel

Une fois notre méthodologie éclaircie, lançons-nous dans l’analyse film par film :

  • 1937 – Blanche Neige : Échec
    Le seul personnage féminin réellement nommé est Blanche Neige. La reine ne reçoit jamais de nom.
  • 1940 – Pinocchio : Échec
    Aucun personnage féminin nommé !
  • 1941 – Dumbo : Échec
  • 1942 – Bambi : Échec
  • 1950 – Cendrillon : Réussite
    Notons malgré tout que les conversations entre femmes sont un peu trop souvent liées aux tâches ménagères ou aux activités de beauté, donc très stéréotypées.
  • 1951 : Alice au pays des merveilles : Échec
    Alice est le seul personnage féminin nommé ! C’est néanmoins le premier film dont l’héroïne est traitée de manière neutre, on appréciera.
  • 1953 : Peter Pan : Échec
    Il n’y a pas de discussion entre Wendy et Clochette, les deux seuls personnages féminins nommés.
  • 1955 – La belle et le clochard : Réussite
  • 1959 – La belle au bois dormant : Réussite
    On est, avec cette histoire, dans tout ce qu’il y a de plus sexiste : cette image de la princesse qui reste passivement endormie, à attendre la libération du prince conquérant… Malgré tout, les trois fées sont nommées et elles discutent entre elles pour cacher, protéger et sauver Aurore. On touche là encore aux limites de l’exercice puisque ces trois fées n’incarnent en réalité qu’un seul personnage qui a été subdivisé en trois pour des raisons de narration et d’apport comique. Enfin bon, le résultat est là.
  • 1961 – Les 101 dalmatiens : Réussite
    Cruella et Anita discutent en tant que vieilles amies. Bref, ça passe, même si Anita ne participe pas vraiment à l’action du film.
  • 1963 – Merlin l’enchanteur : Échec
  • 1964 – Mary Poppins : Réussite
    On parle naturellement surtout de comment garder des enfants, mais Mary échange fréquemment avec Jane…  On appréciera néanmoins Mme Banks, très engagée !
  • 1967 – Le livre de la jungle : Échec
  • 1970 – Les Aristochats : Réussite
  • 1973 – Robin des bois : Réussite
    Dame Marianne et Dame Gertrude échangent quelques mots neutres durant leur partie de Badminton. Ça passe donc tout juste.
  • 1977 – Bernard et Bianca : Réussite
  • 1981 – Rox et Rouky : Échec
  • 1985 – Taram et le chaudron magique : Réussite
  • 1986 – Basil détective privé : Échec
  • 1988 – Oliver et compagnie : Échec
  • 1989 – La petite sirène : Échec
    Beaucoup considèrent que la discussion entre Ariel et Ursula permet de passer le test, mais toutes deux savent parfaitement que l’objectif de cette discussion est d’aller rejoindre le prince Éric. C’est donc un échec.
  • 1991 – La belle et la bête : Échec
    Certains considèrent que la conversation avec l’armoire peut être comptabilisée. Pourtant ce personnage n’a pas de véritable nom dans le film.
  • 1992 – Aladdin : Échec
    Jasmine est le seul personnage féminin… difficile pour faire une conversation !
  • 1993 – L’étrange Noël de M. Jack : Échec
  • 1994 – Le roi lion : Échec
  • 1995 – Dingo et Max : Échec
  • 1995 – Pocahontas : Échec
    Bien que ce film soit clairement progressiste, les discussions entre Pocahontas et Nakoma ou grand-mère feuillage sont toujours induites par le fait de se marier ou non à Kokum.
  • 1995 – Toy story : Échec
  • 1996 – Le bossu de Notre-Dame : Échec
  • 1997 – Hercules : Échec
    Si les 5 muses jouent les narratrices, elles ne discutent jamais réellement entre elles et chantent toujours à propos de Zeus, Hadès et Hercules. De plus, leurs noms ne sont pas donnés dans le film.
  • 1998 – Mulan : Échec
    Encore une fois un film qui fait clairement progresser l’image de la femme. Pourtant, centrant son sujet sur une société qui enferme les femmes dans un rôle d’épouse et de mère, il ne les fait parler que de ça et ne passe donc pas le test.
  • 1998 – 1001 pattes : Échec ?
  • 1999 – Tarzan : Échec
  • 2000 – Kuzco l’empereur mégalo : Échec
  • 2001 – Atlantide : Échec
  • 2001 – Monstre et Cie : Échec
  • 2002 – Lilo et Stitch : Réussite
  • 2002 – La planète au trésor : Échec
  • 2003 – Le monde de Némo : Échec
  • 2003 – Frère des ours : Échec
  • 2004 – Les indestructibles : Réussite
  • 2005 – Chicken little : Échec
  • 2006 – Cars : Échec
  • 2007 – Ratatouille : Échec
  • 2007 – Bienvenu chez les Robinsons : Échec
  • 2008 – Wall-E : Échec
  • 2009 – Là-haut : Échec
  • 2009 – La princesse et la grenouille : Réussite
  • 2010 – Raiponce : Réussite
    Dès le début de l’histoire, Raiponce essaie de convaincre mère Gothel de la laisser sortir de sa tour. Une seconde conversation les oppose à la fin du film.
  • 2012 – Rebelle : Réussite
  • 2012 – Le monde de Ralph : Réussite
  • 2013 – La reine des neiges : Réussite

Seulement 30% des grands classiques Disney passent le test de Bechdel

Les personnages féminins chez DisneySur 52 films testés, seulement 16 réussissent le test, et encore c’est très souvent dû à un rapide échange dans un petit coin du film, ou à une discussion malgré tout très stéréotypée. C’est donc globalement un score décevant qui démontre que chez Walt Disney, comme dans l’ensemble du cinéma, les femmes ont une place très accessoire. On trouvera ainsi quelques films ne contenant qu’un seul et unique personnage féminin (Aladdin, Le bossu de Notre-Dame, Alice au pays des merveilles), ou encore une simple présence féminine désincarnée (Pinocchio). On notera malgré tout une amélioration concernant les dernières œuvres encore dirigées par Walt Dinsey, avant son décès en 1966. Hélas, dans les années 80, les femmes ont été complètement mises au placard, et ce, pour un long moment, malgré la production de certains des plus grand chefs d’œuvre durant les années 90 (La petite sirène, La belle et la bête, Aladdin, Le Roi lion).

Walt Disney s’améliore nettement depuis une dizaine d’années

On observe pourtant une véritable évolution ces dernières années, avec une place de plus en plus importante occupée par les personnages féminins agrémentés de centres d’intérêt souvent loin de la simple recherche de « l’amour ». Au contraire, la thématique de la libération de la femme, des contraintes sexistes imposées par la société, est un thème de plus en plus récurrent (Pocahontas, Mulan, Tiana, Mérida,…). Les femmes s’affranchissent et elles veulent réussir au même titre que les hommes. Dans son dernier long métrage, Walt Disney a même franchi une nouvelle étape puisque, au-delà du partage de l’affiche par deux personnage principaux féminins, pour la première fois, la princesse Elsa a des problèmes plus importants que de se choisir un mari, et n’y pense pas du début jusqu’à la fin du film. Et ça, on peut dire que, pour Disney, c’est une véritable révolution !

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10 Comments

  1. Je suis un grand fan de Disney et, malgré toute ma mauvaise foie qui me démange, vous avez parfaitement raison.

    Aladdin est mon film préféré et, quand on y pense, c’est bien étonnant qu’il n’y ai qu’un seul et unique personnage féminin. Et les rares autres filles que l’on aperçoit sont dans la chanson « Je vole » et chantent des paroles absolument affligantes « qu’il est mignon, qu’il est sexy »… Heureusement que les choses évoluent.

  2. La petite sirène, La belle et la bête, Aladdin, Le roi lion, Mulan…. tous les meilleurs Disney sont recalés. Arrrg !!!!
    Triste réalité, pourquoi me foudroie-tu ainsi ?

  3. Mon Walt Disney préféré est Ariel et il me semble (peut-être que je me trompe) qu’Ariel discute avec l’une de ses soeurs or elles sont nommées lors de la chanson à la fête que loupe Ariel au début et il me semble qu’elle parle de Triton.
    Enfin pour ce qui est de l’ensemble des résultats, je trouve ça un peu triste, mais c’est une bonne chose que les derniers films réhausse le niveau car ce sont à ces héroines (Elsa, Tiana,…) que nos filles vont s’identifier!!!
    Merci pour ce petit test en tout cas, c’est bien sympa!!!

  4. Pour ceux qui aiment briser les mythes de Disney, je vous conseil ces superbes parodies musicales de « Paint », réalisées et interprétées avec énormément de talents :

  5. Merci de rappeler que pinailler sur le passage ou non du test de Bechdel est une bêtise. S’il y a besoin de discuter, c’est que les conditions du passage sont tellement anecdotiques que l’on peut considérer que le test est échoué.
    Voilà une règle simple et claire qui mériterait d’être appliquée à l’ensemble du cinéma…. ça ferait des ravages dans les résultats de bechdeltest.com !

  6. Heureusement, La reine des neiges commence à nous libérer et nous délivrer de toutes ces erreurs du passé !

  7. Pour ce qui est de la réussite du teste de Bechdel, il me semble que le critère pertinent serait de comparer le taux de réussite du test de Brechdel avec sa version masculinisée.

    Parce que le problème de ce test, c’est qu’il est très bien pour juger une histoire un peu complexe, mais ça n’a pas de sens de conclure du résultat qu’Alice au Pays des merveille donne peu de place aux femmes.

    Si on définissait un test de Brechdel version homme, Blanche neige y échouerait tout aussi bien me semble-t-il. Les nains n’ont pas d’autre conversation entre eux qu’au sujet de Blanche neige. Le prince charmant est sans aucune importance, et ça n’est même pas un personnage nommé.

    Donc, il me semble impossible de conclure de l’échec à ce test que les personnages féminins sont sous-développés comparativement aux hommes dans les Disney. Il faudrait d’abord faire passer ce même test en version homme à tous les dessins animés, et c’est la comparaison du taux de réussite qui aurait un sens.

    Et puis c’est bien joli d’aller pinailler en disant que dans cendrillon, presque toutes les conversations entre filles ont pour sujet le ménage, mais les conversations entre homme ? Elle sont réduites à essayer de marier le pince.

  8. Je trouve particulièrement injuste la phrase :

    « démontre que chez Walt Disney, comme dans l’ensemble du cinéma, les femmes ont une place très accessoire. »

    On ne peut pas déduire du non passage du test que les femmes ont une place très accessoire dans l’œuvre en question. Il est complètement faux de dire que les femmes ont une place accessoire dans blanche neige. Elles y sont le moteur et actrices principales de l’histoire. Tout comme dans Alice au pays des merveille, ou dans Mulan, ou dans La petite sirène.

    Tout test a des conditions de validité à vérifier pour que le résultat ait un sens. Elle ne sont clairement pas replies dans un certain nombre des oeuvres citées.

    Chez Disney, le personnage de la princesse occupe beaucoup plus de place et d’importance que celui du prince.

    Si on faisait un échange de tous les personnages masculins et féminins. Tous les garçons deviennent des filles, et réciproquement. Qu’est-ce que ça donnerait ?

    Faisons le sur blanche neige.

    Le prince blanc comme neige fuirait son beau père assassin, et serait recueilli par 7 naines, toutes en admiration devant sa beauté. Il les aiderait (on adapte aux stéréotype de sexe, donc par exemple il couperait du bois et il réparerait les fuites dans le toit au lieu de faire le ménage) son beau père finirait par le retrouver et l’empoisonner, mais le doux baiser d’une belle princesse viendrait le réveiller, et il partirait avec elle.

    Eh bien, si c’était ça l’histoire, je suis sûr qu’il y aurait aussi les pleureuses pour se lamenter que, à part les vieilles naines et la méchante chasseuse, la seule femme du film (d’ailleurs pas nommée) soit la princesse avec un rôle totalement transparent, à la limite du mac guffin.

    Tout ça parce qu’on regarde les choses avec un regard dissymétrique, en regardant la place des femmes, alors que ce qui compte, c’est la place relative des uns par rapport aux autres.

    Dans pratiquement tous les vieux Disney avec une princesse, le seul personnage a avoir vraiment de la profondeur est le personnage féminin. Et le temps de présence à l’écran de celui ci contrebalance gaiement le sur nombre en personnages masculins secondaires.
    On peut les accuser de bien des choses. Rôle stéréotypés des sexes, nécessité du mariage (aussi bien du coté féminin que du coté masculin, on veut marier Mulan, mais on veut aussi marier le prince stéphane et le prince philippe)

    Mais dire que les femmes y ont une place très accessoire, c’est absurde.

  9. Bonjour,

    Merci pour cet article intéressant ! Il y en a des choses à dire sur les Disney !

    Je voudrais me permettre une petite remarque en ce qui concerne « La belle au bois dormant », en effet, je ne suis pas d’accord avec ceci : « […] puisque ces trois fées n’incarnent en réalité qu’un seul personnage qui a été subdivisé en trois pour des raisons de narration et d’apport comique […] »

    Dans le conte original de Charles Perrault, il n’y a pas une, ou trois fées, mais bien sept fées qui sont invitées. Et c’est la 8e qui a été oubliée qui va prononcer la malédiction, qui sera contrecarrée par une des sept fées qui n’avait pas encore formulé son vœu.

    Donc, les 3 fées du dessins animés de Disney ne sont pas un seul personnage divisé en 3. Mais bien 3 fées différentes. Et Disney y a donc été à l’économie…en ne présentant que 3 bonnes fées sur les 7 du conte de Perrault ! 🙂 et il a même réalisé une conversation entre ces fées qui n’existe pas dans le conte, puisque la 7e fée, décide seule de se cacher en voyant la colère de la 8e fée qui a été oubliée.

    Voilà 😉

  10. Article tres interessant deja qui date un peu mais je voulait parler de un point
    A propos de la belle au bois dormant 🙂
    Le problème avec ce que tu dit c est aurore  » cette image de la princesse endormit passif qui attent le prince conquérant  » ça c est ce que toi (avec beaucoup dautres) tu percoit par la sur generalisation et exagération de ce conte qui oublie le contexte de la version DISNEY de ce conte seulement déjà le film lui dit que aurore est voué à mourir que pimprenelle change cela en un sommeil de 100 ans et si elle ne se fait pas sauve d un baisez elle meurt
    Aurore ne fait pas la sieste elle peut pas se reveiller pour manger un petit truc au beau milieu de la nuit et prolonger ca grace math et  » attendre passivement »
    aurore c est l equivalent d une fille dans le coma à l hôpital qui a besoin des premiers secours ! Ou encore d une fille qui vient de se noyez et on lui fait du bouche a bouche Aurore n est pas passif elle ne décide pas de rien faire elle est inconsciente dans un etat proche de la mort et n as aucun choix à faire elle est dans un coma je vois pas ce que il y a de sexiste c juste un très tragique destin
    tu dit le prince phillipe était le sur héros non il est pas un conquerent phillipe est autant « objectifie » phillipe est ligoter bailloner kidnapper et menotte et emprisonné à vie par une fée puissante ( je rapelle aussi que l armée de malefique est composé de goblin masculin complètement stupide en opposition à malefique qui est intelligente ) qui s amuse a lui causer du tourment il se fait sauve à plusieurs reprises par les fée du dungeon, des flèche, du liquide bouillant , de sa cape prise dans les ronce , et du dragon les fée font un travaille d équipe avec phillipe ! A aucun moment on ne dévalué les fée et surélevé phillipe c est dailleur le contraire et lui et aurore sont mis exactement au même plan phillipe est tout aussi bien promit à aurore qu elle ne le est aussi il servent de prétexte au fee pour se disputer ! Donc encore fois l histoire ne peut pas être sexiste puisque aurore est un personne en danger de mort lorsque phillipe l embrasse c est pour la sauve de la mort Et que 3 femme puissante aide phillipe
    Un homme qui aime une femme si il apprend qu elle est dans le coma et veut tout faire pour la sauve c est pas sexiste ça rélèle du bon sens et comme on l’a dit dans un autre commentaire les fée ne sont pas 1 seul personnage mais 7 chez perrault encore 12 chez grimm !
    Désolé pour les fautes 🙂


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